La plus ancienne activité récréative du monde n’en finit pas de nous surprendre. Découvrez les expériences en solo et anecdotes les plus sex’traordianaires
Il s’insère 27 billes dans le pénis
Connaissez-vous le sodurètre ? Ce type de plaisir solitaire étonnant, expérimenté plus par les hommes que par les femmes, consiste à insérer des corps étrangers dans l’urètre ! Oui, l’urètre, ce conduit qui ne sert en principe qu’à évacuer l’urine durant la miction ou le sperme pendant l’éjaculation. Outre la curiosité, cet exercice étonnant est motivé par la découverte de sensations nouvelles, de plaisirs pour le moins inédits. Elle peut même parfois déboucher sur un orgasme ! Elle est toutefois loin d’être sans danger (d’infections urinaires notamment) et peut entraîner des séquelles assez graves : déformation de la verge, nécrose du scrotum, septicémie… Hygiène méticuleuse, lubrifiant et approche progressive sont en tout cas de rigueur. Il existe des sextoys spécifiques à ce type de pénétration. Mais les objets les plus variés peuvent aussi être mis à contribution, non sans risques : stylos, crayons, thermomètre, lames de rasoir… Tout récemment, des chirurgiens chinois se sont ainsi vu confier la difficile tâche d’extraire vingt-neuf billes aimantées du pénis d’un jeune de treize ans ! Originaire du Nord-Ouest de la Chine, cet ado seulement connu sous le nom de Lin, s’était inséré par curiosité une vingtaine de billes métalliques dans l’urètre. Devant l’impossibilité de les récupérer par les voies naturelles, il a préféré se taire. Ce sont finalement ses parents, alertés par les fortes douleurs abdominales dont leur fils souffrait, qui ont fini par donner l’alerte. Trois mois s’étaient tout de même écoulés depuis cette intromission irréfléchie. Le cas n’est apparemment pas isolé. En Chine toujours, un jeune garçon de onze ans avait, pour sa part, réussi à s’insérer 70 billes magnétiques dans le zigounet à bec verseur ! Encore une expérience scientifique ayant mal tourné.
Frénésie sexuelle et Parkinson
Certains médicaments ont sur la sexualité un effet secondaire étonnant. Au rayon des traitements qui freinent les envies coquines, notons principalement les hypotenseurs. Ils peuvent contrarier la qualité de l’érection chez monsieur et l’afflux de sang dans le clitoris et les organes génitaux, chez madame. C’est le cas aussi de la plupart des antidépresseurs. Ces médicaments semblent inhiber la libido, bien qu’il soit parfois assez difficile de faire la part des choses entre leurs effets iatrogènes et les conséquences de la dépression. Il arrive aussi que des molécules thérapeutiques aient des effets tout à fait inverses ! Certaines des molécules utilisées pour soigner la maladie de Parkinson peuvent ainsi faire perdre aux patients le contrôle de leurs actes, non sans conséquences sur leur vie familiale et professionnelle. Cela va d’achats impulsifs, à des dépendances au jeu, en passant par des épisodes de boulimie mais aussi de frénésie sexuelle ! Ces derniers patients se mettent par exemple à multiplier les conquêtes, les rapports sexuels et les aventures extraconjugales. Ils consultent frénétiquement les sites porno, deviennent fétichistes, se livrent dans certains cas à de l’exhibitionnisme, au frotteurisme, voire commettent parfois des agressions sexuelles. Ce qui peut les mener devant la justice. Les médicaments incriminés dans ce genre de passage à l’acte font partie de ce que l’on appelle les agonistes dopamineriques. Il s’agit d’un des deux traitements les plus utilisés pour soigner la maladie de Parkinson. Selon une étude française parue en 2018, ces troubles concerneraient 51,5% des patients traités avec ce type de médicaments ! Soit une incidence nettement supérieure à ce que l’on estimait jusqu’ici.
Etonnant : elle accouche de deux bébés supplémentaires !
Les cigognes sont parfois un peu distraites. A moins qu’elles n’en fassent tout simplement qu’à leur tête. C’est probablement ce qu’à dû se dire Arifa Sultana, une native du Sud-Ouest du Bangladesh. Cette jeune mère de 20 ans a eu la surprise de mettre au monde des jumeaux vingt-six jours à peine après avoir donné naissance à un premier bébé ! En réexaminant la jeune femme, les médecins ont découvert que celle-ci était née avec un second utérus, dont la présence n’avait pas été détectée lors de la première grossesse ! La jeune maman était tout aussi étonnée de perdre les eaux une deuxième fois à une vingtaine de jours d’intervalle. À l’inverse du premier accouchement, les deux bébés, une fille et un garçon, ont été mis au monde par césarienne. Leur état de santé n’a cependant donné lieu à aucune inquiétude et la maman a pu repartir rapidement avec ses trois enfants. On estime qu’environ une femme sur 3 000 naît avec deux utérus voire deux vagins ! Cette malformation difficile à diagnostiquer est appelée utérus didelphe. Il ne s’agit pas du premier cas de grossesse impliquant un double utérus. Mais à la connaissance des médecins, c’est la première fois que ce type de grossesse débouche sur la naissance de trois enfants, dont des jumeaux !
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Retrouvez toutes les semaines la rubrique MetroBoulotSexo, un regard espiègle et toujours bien documenté sur ce qui se passe généralement sous la ceinture, par Didier Dillen du blog Love,Sexe etc
Illustration TaraM